Note technique :
La principale difficulté du projet, au niveau de la superstructure, a consisté à reprendre de très importants porte-à-faux à l’aide de structures spatiales peu (ou pas) visibles. Ces structures, généralement tridimensionnelles et mixtes acier-béton, devaient s’articuler et s’emboîter avec le projet architectural. On est donc très loin des descentes de charges traditionnelles : planchers, poutres, colonnes ou voiles. Les efforts remontent, se translattent et descendent enfin là où l’architecture le permet. Ces exercices passionnants et délicats ont nécessité une importante interaction avec les intervenants, architecte et entrepreneur. L’ouverture d’esprit du concepteur, combinée à l'excellente maîtrise de l’entreprise, ont permis de mener à bien ce projet.